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Mise à jour du 4 août 2017.
Cliquez pour agrandir. Caricature diffusée avec le portrait publié dans les "Echos".
4 août, 228 ème anniversaire d'une annonce qui tarde encore encore à passer concrètement dans les moeurs de notre pays ; les sévères
discussions qui ont émaillé l'examen de la réformette dite de moralisation de la vie politique le prouvent. Dans cette mise à jour, plusieurs
points sur l'action de cantalous devenus des habitués des salons parisiens. A tout seigneur, tout honneur, portrait de Jacques Mézard publié dans
« Les Echos » PAR HENRI GIBIER / Directeur des développements éditoriaux, le 17/07 à 06:00. Transmis
par un fidèle ami de Testu. Parution autorisée sur le blog suite à un contact avec Agnès Clowez, responsable relations presse. Jacques Mézard
? « W ho's that guy ? » demandait fébrilement à tous ses amis viticulteurs un participant britannique quand
Jacques Mézard, éphémère ministre de l'Agriculture, visita au mois de juin le Vinexpo Bordeaux 2017. L'ex-sénateur radical de gauche du Cantal se sentira beaucoup plus chez lui ce lundi avec l'ouverture de la Conférence
des territoires, dont il devenait le ministre chargé de défendre la Cohésion dans le deuxième gouvernement du quinquennat Macron. Le baptême du feu pour cet avocat de soixante-neuf ans, fils d'un médecin lui aussi sénateur,
veuf, et père de deux enfants aux prénoms impériaux, Maximilien et Alexandre. Chantre de la ruralité, opposant farouche à la création de grandes régions par François Hollande et Manuel Valls, gardien
intraitable du temple de la laïcité, hostile au non-cumul des mandats, ce juriste volontiers bougon, rarement souriant, tranche sur beaucoup de points avec la « ligne macronienne », même s'il fut un des premiers notables
de la politique ralliés au candidat d'En marche. Un jour, ce patriote régionaliste s'était dit sur le ton de la boutade prêt à racheter pour 1 euro symbolique le point bleu dont Météo France marque sur ses
cartes Aurillac, sa ville de naissance, parce qu'il en avait assez d'entendre que c'était le point le plus froid de l'Hexagone. Il revient maintenant à ce gros travailleur de faire « avaler » à la grande armée
des élus locaux dont il se réclame les promesses présidentielles qu'ils redoutent tant, comme la suppression de la taxe d'habitation ou la diminution du nombre des départements. Heureusement, chez lui, on fabrique fort bien le « Cantal
entre-deux ». @Hgibier
Quand Jacques Mézard change de costume mais garde ses mauvaises
habitudes. Régulièrement, l’ex président de la CABA nous a fait le
coup de la loi, des évolutions de la société ou des normes qui l’ont « obligé » à prendre des initiatives plus que contestables. Une ânerie faite ne peut pas être mézardienne.
Devenu ministre, il en remet une couche. La baisse des APL des plus démunis, ce n’est pas lui, c’est
la faute aux socialistes qui l’avaient prévu mais ne l’avaient pas fait ! En cause,
le décret du 12 octobre 2016… qui ne parle pas d’une baisse générale mais d’une modification du mode de calcul des APL pour les bénéficiaires dont le patrimoine immobilier et financier est… supérieur
à 30 000 euros, à l’exception de la résidence principale et des biens professionnels. Petits sujets de
réflexion à l'attention du ministre de la cohésion des territoires Les milliards des JO parisiens qui vont concentrer toujours plus de richesses, de pollution, de
problèmes de circulation, d'enfer de vie quotidienne pour les franciliens ... on ne pourrait pas les utiliser à la cohérence territoriale, au maintien de la vie dans la ruralité française ? La poste affirme assurer tous les services bancaires, à part les retraits et les dépots d'argent, dans un algéco sur le gravier à Aurillac. S'il a un soupçon d'influence,
J. Mézard va certainement mettre un coup d'arrêt à cette situation comparable à celle d'une maison de santé qui assurerait tous les services médicaux sauf les soins aux malades ! Du même coup il pourrait passer
un coup de fil à la direction de la Poste pour que cesse la démolition du service dans tout le département. Après la poste, les trésoreries
de Laroquebrou et Montsalvy sont dans le collimateur de la machine à désertifier. On ne comprendrait pas que le champion du développement cantalien, Vincent Descoeur et son grand ami, ministre de l'égalité des territoires,
ne rectifient pas ces orientations ruralicides. Et la baisse des dotations aux collectivités ? Président de la CABA, il nous parlait de la nécessaire péréquation
horizontale et verticale : ministre, va-t-il nous faire plonger encore un peu plus ?
Les "nouveaux" députés. Pendant la campagne, V. Descoeur et J.Y.
Bony avaient parlé d’une même voix : eux à l’Assemblée, on entendrait parler du « pays ». Qu’ont-ils fait depuis leur élection ? J.Y. Bony a parlé en réunion plénière, qui l’eut cru ? Les faits.
4 juillet, déclaration de politique générale du gouvernement, C. Jacob s’adresse au 1er ministre : « Ces félicitations
auraient certes été plus spontanées, plus vives, plus émues aussi, si vous n'aviez pas quitté votre famille politique dans ces conditions. » J.Y.
Bony coupe la parole à son président de groupe pour lancer à la cantonade : « vous l’avez trahie ! ». Depuis, pas un mot en
séance publique ou en commission ! Par contre, il a signé trois questions écrites à propos de l’hôpital de Mauriac (ça ne mange pas
de pain), de la couverture internet des territoires de montagne (celle-là était pour Mézard), des conditions de travail du personnel de santé débordé et en sous effectif… alors que, candidat, il soutenait la
suppression de centaines de milliers d’emplois publics. Parmi ses quatre attachées parlementaires, qui a écrit ces courriers, rédigés dans un
français sans rapport avec celui pratiqué du coté d’Ally ? Marie-Christine Vors, Michèle Parion, Geneviève Gineste ou Valérie Cabecas la reine du cumul ? V. Descoeur, plus à l’aise, a parlé dix fois en séance publique : à sept occasions il a lâché des « très bien »,
« bien sûr », « très juste ». Le 28 juillet, il s’est fendu de trois interventions plus conséquentes pour regretter, auprès de ses « chers collègues »,
que des rumeurs de clientélisme aient pu ternir la réputation de la réserve parlementaire, indispensable à la survie du monde associatif, cantalien en particulier. Serait-il amnésique au point d’avoir oublié
l’arrosage permanent des chasseurs par son « ex cher collègue » devenu suppléant ? Ses prises de parole n’ont pas été suivies
d’effet, la réserve parlementaire est supprimée et c’est bien ainsi : le député n’a pas à jouer au « père Noël ». Le 19 juillet, en commission, intervention pour rappeler que le Cantal, à l’écart du réseau autoroutier, mériterait mieux pour ses routes. Globalement la ministre en marche a dit que les prévisions seraient tenues…
dans des délais, peut-être allongés, sauf si des solutions locales par l’impôt ou le péage pouvaient accélérer les financements… En français de chez nous : si vous avez des projets routiers,
vous pouvez les financer, nous on a plus de sous pour vous.
Aurillac, le 27 juillet 2017 Communiqué de presse des l'intersyndicale (FO, CGT et
Solidaires) des Finances Publiques (Trésor Public et Impôts) du Cantal NON AU PROJET DE FERMETURE DES TRESORERIES DE MONTSALVY ET DE LAROQUEBROU ! Les organisations syndicales de la Direction Départementale des Finances Publiques du Cantal, FO, CGT et Solidaires s'opposent au projet de fermeture des Trésoreries de Montsalvy etLaroquebrou au 1er janvier 2018. C'est dans les trésoreries que se trouve l'interlocuteur physique privilégié des usagers ruraux, souvent isolés et/ou ne disposant pas de connexions internet (n'oublions pas que le haut débit
n'est toujours pas généralisé !), c'est celui qui est à l'écoute des usagers pour aider à résoudre leurs problèmes de paiement des impôts, des factures d'eau ou de cantine.La proximité engendre
une confiance de l'usager avec le fonctionnaire. C'est aussi là que les élus locaux trouvent aide et conseils pour gérer au mieux leurs finances. On
ne peut que s'interroger sur l'avenir du Cantal qui perd peu à peu tous ses services publics de proximité. Les organisations syndicales de la Direction Départementale des Finances Publiques du
Cantal, FO, CGT et Solidaires en appellent aux citoyens et leurs représentants élus locaux pour s'opposer à ces fermetures de service public. Les secrétaires départementaux, -Jean-Pierre
MOISSINAC pour FO-DGFIP, -Daniel HINDERSCHID pour la CGT Finances Publiques, -Christian LAROUSSINIE pour Solidaires Finances Publiques
Département : changement dans la continuité !
Un nouveau président ? Le 17 juillet dernier, le Conseil départemental était réuni pour élire son nouveau président -ou présidente. Les conseillers Bernard Delcros au nom du ROC et Michel Cabanes au nom du
GRD demandèrent à l'exécutif sortant d'imaginer une gouvernance qui ressemble à celle pratiquée au niveau national : fin du clivage systématique majorité-opposition. Alain Calmette alla dans le même sens
réclamant des convergences dans l'intérêt du Cantal. Le président sortant, Vincent Descoeurs, présenta, pour le groupe majoritaire, la candidature
de Bruno Faure, ces deux conseillers ne souhaitant apporter aucun changement à la gouvernance traditionnelle. Dans ces conditions, Michel Cabanes posa sa propre candidature. Le résultat du vote fut clair : 18 voix pour Faure, toute l'ancienne
majorité, 12 voix pour Cabanes, les trois (1) groupes d'opposition réunis. Bruno Faure est donc le nouveau président du Conseil départemental
! Ça, c'est l'apparence, la réalité est que rien n'est changé, Vincent Descoeurs reste président de fait du Conseil. Vincent Descoeurs, député
entre 2007 et 2012 était en même temps président du Conseil général ce que la loi n'interdisait alors pas. A qui fera-t-on croire qu'à partir de 2017 il en sera autrement ? Vincent Descoeurs qui a forcément
gagné en âge, en sagesse, en expérience et peut-être en malice sera évidemment capable de faire le même travail que lors de sa première législature. La seule question qu'on est en droit
de se poser, c'est de savoir s'il a choisi Bruno Faure pour sa compétence, son dévouement ou sa docilité. Mais, ne faisons pas un procès d'intention à cet homme de bonne volonté ! Transparence repoussée à l’unanimité ! Une des premières mesures soumise par le nouveau
président fut de décider que la commission permanente, au lieu de se composer de neuf membres, comprendrait l'ensemble des conseillers comme c'était le cas précédemment ; nous le disons à nouveau, c'est
une mesure démagogique et anti-démocratique en ce qu'elle donne du poids à la bureaucratie au détriment de l'assemblée plénière. Elle fut adoptée à l'unanimité. Copinage avec les gens « bien placés ». La déclaration suivante est encore plus inquiétante
: "nous avons un ministre, un président de la région qui est notre ami et les quatre parlementaires qui siègent dans notre assemblée, cela nous aidera" fut-il affirmé. Cela confirme l'erreur qui consiste
à croire que notre salut viendra du haut alors que "notre salut" réside dans l'intelligence, la volonté et l'imagination départementales. Le " haut",
mais que pèse le Cantal, en haut, à Paris ? L'ancien président départemental, Roger Besse, nous en avait donné une illustration parfaite en 1994
lors d'une entrevue ; ce jour-là, quelque peu désabusé, il nous avait révélé qu'il ne fallait rien attendre d'en haut. Giscard Destaing, président de la région, Auvergne ne lui avait-il pas indiqué
que la solution pour le Lioran était un tunnel à péage et surtout, Pasqua, ministre de l'intérieur, n'avait-il pas répondu à l'une de ses sollicitations par une formule sans ambiguïté : "Tiens
Besse, ton Cantal, je te l'achète comme ça tu ne m'emmerderas plus !" La bande des quatre. Donc le député Vincent Descoeurs est conseiller départemental avec l'esprit résumé plus haut ; d'ailleurs, dans sa campagne pour les législatives son slogan était "votez Cantal, votez Descoeur" confirmant
par là qu'il n'avait pas encore compris que le député était un élu national, élu certes dans un territoire mais qu'il n'était pas l'élu de ce
territoire ! Donc, le député Jean Yves BONY reste conseiller départemental. En tant que député, il avait déjà fait un intérim
du temps d'Alain Marleix lequel n'a jamais, en quatre mandats, impulsé un projet structurant pour le Cantal mais est devenu un virtuose du maniement démagogique de la réserve parlementaire et ministérielle. Bony est
sur la même ligne que Descoeurs ! Donc, le sénateur Bernard Delcros reste conseiller départemental ; lui, tourné résolument vers l'avenir, a
fait ses preuves sur le terrain… Il sera, et c'est tant mieux, un pilier, une valeur sûre de l'assemblé départementale ! Donc, la sénatrice Josiane
Costes a aussi choisi de rester membre de cette assemblée. Elle a montré dans ses divers mandats d'élue qu'elle était lucide, travailleuse, consciencieuse ; sa présence sera bénéfique pour le Cantal.
Et oui, madame Costes est sénatrice, elle était la suppléante choisie par Mézard lequel est devenu ministre. Le ministre. La façon qu'avait le président de la CABA, depuis le début des évènements présidentiels, de se
précipiter sur les talons de Macron, ne laissait aucun doute, à ceux qui connaissent son ambition et son goût pour l'intrigue, sur son désir de décrocher une place de ministre. Cet anti- Cyrano de Bergerac, "ce lierre obscur qui circonvient un tronc et s'en fait un tuteur en lui léchant l'écorce, pour grimper par ruse au lieu de s'élever par force"
a donc eu, ce 17 mai 2017, son bâton de Maréchal : il est ministre ! Toutefois, le regret de n'avoir jamais pu être maire d'Aurillac jettera toujours une ombre sur sa carrière. Hélas, grande fut sa déception, on lui donna l'agriculture, domaine qui lui est totalement étranger et auquel il ne s'était jamais intéressé. Mais, puisant dans sa jubilation d'être ministre, la force de borner sa déception, intelligent et travailleur il s'était mis à la tache. Après avoir réglé un problème financier
de versement de primes, il s'était renseigné pour savoir si les vaches ont les cornes derrière ou devant les oreilles, avait approfondi ses connaissances sur les vertus du colostrum et étudié les mœurs du
carpocapse … Mais cet homme qui a toujours eu, pour sa carrière politique, un coup d'avance avait en point de mire les modifications du gouvernement après les législatives
et, à force de frottages de paillassons il a hérité du portefeuille de "la Cohésion des territoires" domaine qui lui convient et dans lequel il a d'incontestables connaissances. Notre interrogation en la matière est simplement de savoir comment, et au prix de combien de couleuvres avalées, les convictions décentralisatrices affirmées d'un président de la République girondin
seront servies par ce conservateur immobiliste que l'on entend depuis des années clamer : "je suis jacobin, voilà ma gloire, mon espérance !" PA
(2) (1)R O C : Rassemblement et Ouverture pour le Cantal = 5 membres ( 3F & 2H)
G R D : Groupe du Rassemblement démocratique = 4 membres (2F & 2H) Groupe socialiste = 3 membres (1F &
2 H) (2)Seuls les sous-titres en gras ont été rajoutés au texte initial.
ELLE, PRÉSIDENTE ! Non, ce n’est pas une allusion à l’élection
présidentielle mais à celle plus modeste de la FNSEA. Sa nouvelle présidente, Christiane Lambert, a eu droit à tous les honneurs de la presse. Chacun sait maintenant qu’elle est battante, travailleuse, énergique et
même qu’elle va à la messe. Serait-ce pour autant qu’on lui donnerait le bon Dieu sans confession ? Elle, déjà présidente à son arrivée
en Anjou, a bénéficié de la mansuétude du Crédit agricole suite à des difficultés financières rencontrées lors de son installation. Il est vrai qu’entre les Jeunes Agriculteurs et la banque
verte, c’est une longue histoire d’amour. Voilà qui explique sans doute pourquoi le Crédit agricole n’est jamais victime de la moindre manifestation syndicale malgré ses milliards de bénéfices et ses milliers
de pauvres adhérents. Elle, présidente du CNJA ensuite, a toujours été proche de sa coopérative, celle-ci étant le prolongement de l’exploitation
agricole comme il est écrit dans les livres d’histoire agricole. Là encore, les relations sont intimement fortes entre les deux « partenaires » puisque le jeune installé reçoit des droits à produire ou des
prêts sur l’approvisionnement et autres facilités qui seront autant de pièges pour l’intégrer. Alors, on manifestera à la DDA, jamais chez Terrena (dont Monsieur Lambert est par ailleurs administrateur) !
Elle, présidente du CNJA, qui déployait son joli slogan « mieux vaut des voisins que des hectares », a néanmoins repris les terres de son voisin. La faute à
pas de chance… pour lui. Il a failli. A l’époque, elle, présidente, avait déposé une offre de rachat des DPU, droits à paiement unique attachés à ces terrains, alors que son syndicat combattait
vigoureusement la valorisation de ces actifs immatériels ! Et puis, autrefois, elle, présidente, défendait becs et ongles l’exploitation familiale. Désormais, elle, présidente, plaide pour les étables de 200
à 300 vaches ! Elle, présidente de Farre, aux côtés des industriels phytos, se rachètera ensuite une conduite agro-écologique en allant apprendre
à quoi servent les vers de terre à l’AEI (Agriculture écologiquement intensive). Elle, présidente de Vivea, a du pouvoir. Elle distribue environ 45
millions € par an pour la formation qui vont irriguer surtout les chambres d’agriculture mais dont une partie se perd dans l’appareil syndical, selon un rapport de juillet 2015. Elle, présidente, a su passer deux mandats de 5 ans dans les salons parisiens du Conseil économique social et environnemental (Cese) à raison de 3 786,76 euros brut par mois pour deux réunions. La retraite mensuelle est aujourd’hui
de 1 120 euros par mois à l’issue de 10 années de Cese. Elle, présidente, confie à LIBERATION 14/04/17 ce que gagne son couple : « En 2016, on
s’est payés 3 000 euros à deux chaque mois ». Pourrait-elle confesser ce qu’elle gagne en dehors de ses revenus agricoles grâce à ses nombreuses casquettes ? En attendant, elle, présidente, répète
qu’elle veut rapprocher l’agriculteur du consommateur, ce qui est louable, et soigner les bleus à l’âme des agriculteurs, ce qui est encore plus louable. Oui, mais ces bleus à l’âme ne sont ils pas les conséquences
des rouges bancaires liés à une recherche de toujours plus de compétitivité prônée par Madame Lambert ? édito
de guy laluc du numéro 288 avril 2017. Publié avec l'aimable autorisation d'Argos, un support à l'ambition plus respectable : "rendre public ce qui voulait rester caché". Allez sur Google. Tapez Argos. Cliquez et vous verrez que
les amis de testu ne sont pas les seuls à se poser des questions sur la FNSEA et ses satellites.
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